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Une véritable œuvre d’art de la marque Marlen pens
Édition limitée à 499 exemplaires
Le capuchon est en résine italienne précieuse gris moucheté. Une des curiosités de cette œuvre est qu'elle est la seule à porter la signature du Maître, sur l'épaulette qui retient le manteau de la Vierge. Cette particularité a été reprise et gravée sur le large bandeau en argent, complété également des dates de naissance et de décès de l'artiste. Sur la tête se trouve un disque en résine sur lequel est joliment affiché le logo Marlen. Le clip en forme de ciseau est réalisé en argent 925 sur lequel est serti un disque de bronze dans lequel les designers de Marlen ont voulu résumer la fusion parfaite entre beauté formelle et vérité théologique, typique de l'œuvre. Le corps est constitué d'une bande en argent 925 sur laquelle est gravé en relief le chef-d'œuvre, peut-être le plus haut de la carrière de Michel-Ange et connu sous le nom de Pietà de Saint-Pierre ou Pietà du Vatican, mais pour tout le monde, "La Pietà de Michel-Ange.
Résine italienne précieuse, argent et bronze
Dimensions approximatives : 13,8x1,6 cm
Livré avec le coffret complet et la documentation. Garantie fabricant jusqu’en avril 2027
Comme neuf, jamais utilisé
A titre indicatif, le prix de référence est de 1200 euros
La Pietà est considérée comme l'un des chefs-d'œuvre de Michel-Ange grâce au dynamisme et à la douceur des lignes, au rendu plastique des formes du corps et aux plis des tissus. Le groupe sculptural représente la Madone tenant à genoux son fils qui vient d'être descendu de la croix. La Madone tient son fils, regardant vers le bas, avec sa main droite sous le bras de son fils. Dans les mains de Jésus, les trous de la croix sont parfaitement visibles. L'œuvre ne représente pas la douleur de la Madone ni le tourment du corps torturé du Christ : mais toutes deux, la vie et la mort, réunies, atteignent ensemble la perfection divine. Ceci explique la structure pyramidale qui, s'élevant en spirale depuis la largeur de la base, mène au sommet, donc à l'unité, dans la tête de la Vierge. Le point de vue de Michel-Ange est toujours un seul : celui frontal. Les plis surabondants de la robe font encore plus ressortir le raffinement du corps nu. Cette grande draperie de la Madone contraste avec le corps lisse de Jésus. La perfection de celui-ci et du visage résigné de la Vierge exprime le dépassement des traits terrestres et l'atteinte de la beauté idéale. L'extrême jeunesse de la mère, par rapport à son fils, a été choisie par Michel-Ange précisément pour exprimer au mieux sa chasteté. Dans la Pietà, il n'y a pas d'hédonisme mais plutôt le sens le plus profond du néoplatonisme et du classicisme florentin : l'idée est pleinement exprimée, les formes sont donc totalement achevées. L'extrême douceur de la surface du marbre donne un effet mimétique extraordinaire, comparé par Vasari à un miracle.